Urgence Séisme

Nous ouvrons une page dédiée à propos des évènements récents arrivés au Népal. Nous lançons également un appel aux dons pour venir en aide aux personnes sur place. Rendez-vous ici

Népal : face à l’impuissance des secours, les habitants perdent patience

Article du Monde (article complet)
Quatre jours après le séisme dont le bilan s’élève désormais à plus de 5 000 morts, la situation est loin de s’être calmée à Katmandou, la capitale du Népal. Mercredi 29 avril, la police antiémeute a peiné à ramener le calme parmi les milliers de survivants en colère. La foule s’était rassemblée dès avant l’aube à la gare routière, près du Parlement, dans l’espoir de pouvoir monter à bord d’un bus spécial promis par le gouvernement.
Que leur maison se soit effondrée ou qu’elle soit endommagée, les habitants ont passé une quatrième nuit sous des tentes de fortune, dehors, par peur de rentrer chez eux alors que le sol ne cesse de trembler.
Lire le reportage : Népal : à l’épicentre du séisme, la colère des survivants
« Nous n’avons plus rien »
Des familles entières se ruaient déjà dans les autocars afin de quitter la capitale ravagée par le séisme pour se rendre dans leur village d’origine. D’autres emplissaient les magasins pour faire des réserves de denrées de base, comme le riz et l’huile, ou formaient de longues files d’attente devant les stations-service pour y faire le plein.
Au total, plus de 100 000 personnes ont déjà quitté Katmandou, et on s’attend à ce que 300 000 fassent de même au total, ce qui représente près de 10 % de la population.
Car, au-delà des 5 057 morts recensés dans le dernier bilan officiel, ce sont plus de huit des 28 millions d’habitants du pays qui sont affectés à travers le pays par la catastrophe, selon l’Organisation des Nations unies.

Quatre jours après le séisme dont le bilan s’élève désormais à plus de 5 000 morts, la situation est loin de s’être calmée à Katmandou, la capitale du Népal. Mercredi 29 avril, la police antiémeute a peiné à ramener le calme parmi les milliers de survivants en colère. La foule s’était rassemblée dès avant l’aube à la gare routière, près du Parlement, dans l’espoir de pouvoir monter à bord d’un bus spécial promis par le gouvernement.Que leur maison se soit effondrée ou qu’elle soit endommagée, les habitants ont passé une quatrième nuit sous des tentes de fortune, dehors, par peur de rentrer chez eux alors que le sol ne cesse de trembler.Lire le reportage : Népal : à l’épicentre du séisme, la colère des survivants« Nous n’avons plus rien »Des familles entières se ruaient déjà dans les autocars afin de quitter la capitale ravagée par le séisme pour se rendre dans leur village d’origine. D’autres emplissaient les magasins pour faire des réserves de denrées de base, comme le riz et l’huile, ou formaient de longues files d’attente devant les stations-service pour y faire le plein.Au total, plus de 100 000 personnes ont déjà quitté Katmandou, et on s’attend à ce que 300 000 fassent de même au total, ce qui représente près de 10 % de la population.Car, au-delà des 5 057 morts recensés dans le dernier bilan officiel, ce sont plus de huit des 28 millions d’habitants du pays qui sont affectés à travers le pays par la catastrophe, selon l’Organisation des Nations unies.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/04/28/nepal-l-aide-commence-a-atteindre-les-villages-recules-les-plus-touches_4624676_3244.html#pVWH2MuK8wUFlG2s.99